frenchhope: agriculture biologique* + élevage* + agriculture*

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    https://www.youtube.com/watch?v=ETmxav14_Wk
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  2. Le problème, c’est que la plupart des gens veulent des réponses faciles à cette question. Malheureusement, il n’y en a pas !

    Par exemple, j’ai souvent pensé à devenir végétarien pour des raisons éthiques et environnementales. Mais je n’ai pas envie de manger à la place de la viande du soja ou d’autres aliments importés de l’autre bout du monde, du fait des émissions carbone générées pour les acheminer.

    Et si nous devons reconnaître le dilemme éthique que représente le fait de manger des animaux, qu’en est-il des animaux du sol ? Pourquoi écraser, trancher et découper en dés des mini-bêtes dans les exploitations agricoles est acceptable, mais pas lorsqu’il s’agit de grosses bêtes ? Si je suis cette logique jusqu’au bout, dois-je devenir un « fruitarien », qui ne mange que des fruits bio cultivés près de chez lui ?

    ***

    On peut, par exemple, défendre que l’agneau néo-zélandais consommé en France a moins d’impact sur l’environnement que l’agneau produit localement. La production d’agneau néo-zélandais implique moins d’intrants « riches » en carbone tels que les engrais. Il existe également un système de transport très efficace en Nouvelle-Zélande, qui repose sur des fermes plus grandes et des camions plus gros. Il permet de produire et de transporter plus de viande avec moins de terre et moins d’émissions. Il en résulte une réduction des gaz à effet de serre par kilogramme de viande.

    ***

    C’est alors le moment de cultiver ce que les Danois appellent « l’hygge », un art de vivre qui permet de rester positif lors des longs hivers. En créant par exemple une ambiance conviviale et chaleureuse à base de ragoûts, de soupes et de bouillons réconfortants.

    ***

    Combien de personnes font en effet des bocaux avec leur surplus de fruits et légumes ? Consommer des aliments locaux de saison en grande quantité tout au long de l’année implique de restructurer les systèmes de production alimentaire et les chaînes d’approvisionnement traditionnelles.

    Celles-ci ont été mises à mal par la concentration de l’offre alimentaire entre les mains de quelques acteurs. L’hiver met à l’épreuve notre capacité à préserver les richesses de l’été et de l’automne, et le printemps nous soulage avec ses artichauts, pommes de terre nouvelles, rhubarbe, roquette, oseille et épinards. Puis le cycle recommence.

    Encore une fois, s’approvisionner de façon réellement durable n’est pas un jeu d’enfant. Il faut pour cela faire revivre les connaissances et les processus culturels que les supermarchés nous ont fait oublier. Mais les avantages d’un approvisionnement alimentaire local et saisonnier sont grands pour la nature et notre santé. Renouer avec la terre et ses rythmes saisonniers fait du bien à tous.
    https://theconversation.com/une-alime...e-tout-depend-de-la-ou-jhabite-153330
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  3. « Elever un troupeau de vaches au régime 100 % herbe, c’est possible et c’est rentable. Même face aux sécheresses ! », a conclu Jean-Louis Fiorelli, chercheur sur le site de Mirecourt. « Face aux aléas climatiques, nous sommes capables de montrer que les systèmes autonomes en élevage sont vivables et gérables sans affecter le troupeau. Le système herbager est économe et donne des résultats économiques très performants, avec des races comme la Montbéliarde ou la Holstein qui produisent en moyenne 5 000 kg de lait par vache et par an contre 6 500 kg de lait en moyenne dans la région ».

    Pour l’Inra, il est donc possible de « conduire des systèmes agricoles autonomes ayant très peu recours aux intrants et préservant la biodiversité, tout en maintenant une rentabilité économique élevée”. Les résultats font état de deux systèmes respectueux de l’environnement, avec de faibles émissions de gaz à effet de serre et de pertes d’azote dans l’eau. Un suivi de populations de carabes et d’adventices a montré que la biodiversité préservée est mobilisée en tant que ressource pour l’agriculture. Et la rentabilité économique des systèmes est supérieure à celle du domaine lorsqu’il était conduit en agriculture conventionnelle : « Le produit brut a augmenté de 25 % sur 10 ans, et les charges opérationnelles ont été divisées par deux, notamment grâce à la réduction des achats d’intrants ».
    http://www.fairebien.com/la-ferme-de-mirecourt
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  4. -
    https://reporterre.net/Les-petits-elevages-bio-menaces-par-bruxelles
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